Utiliser un langage non-sexiste et inclusif pour que chaque personne se sente accueillie et représentée.

Sous-points

  • Propose un langage qui permet la visibilisation des femmes* et utilise un vocabulaire représentatif des faits sexistes.
  • Propose une écriture inclusive : féminise les mots et/ou les termes (par exemple écrivain, écrivaine ; écolier, écolière…).
  • Présente une femme publique en la nommant par son prénom et son nom.
  • Utilise un vocabulaire, une formulation juste et représentative des faits,  emploie des adjectifs pertinents et nécessaire et évite la discrimination, la hiérarchisation des sexualités et l’invisibilisation des personnes.
  • Laisse un temps à l’image et/ou de parole équitable pour toutes les personnes, quel que soit leur genre.
  • Accueille le discours des personnes infantilisées et/ou victimes de paternalisme.
  • N’utilise pas le langage comme moyen de pression ou de décrédibilisassions.
  • N’utilise pas des termes animaliers pour déshumaniser une femme *.
  • N’utilise pas des termes à caractères féminin comme des expressions à connotations négatives.
  • n’utilise pas de langage discriminatoire ou ayant des connotations négatives à l’égard des personnes en situation de handicap  (« différemment handicapé », « malgré le handicap », « en fauteuil roulant », etc.)