Anéantir la culture du viol pour que chacun·e soit en sécurité et respecté.

Sous-points

  • Ne romantise pas  les discours sur la violence (par exemple “séducteur”, “Don Juan”, pour parler d’un agresseur), ne rejette pas la responsabilité des violeurs sur les victimes (“elle était ivre”), ne traite pas le féminicide comme un crime passionnel.
  • N’ hypersexualise pas les corps féminins, n’associe pas l’image de la femme à celle d’un objet et ne promeut pas les relations de pouvoir dominantes (patriarcal et colonial etc.)
  • Ne propose pas de codes culturels et sociaux autour de la sexualité qui favorisent la culture du viol ou  une division sociale inégale entre les hommes (dominants) et les femmes* (dominées).
  • Propose d’autres modèles de l’érotisme.